Je tourne en rond.
Alors, l’envie me prend
De me perdre
Dans le Triangle des Bermudes,
Pour y dessiner
Un grand rectangle,
Et devenir sans doute
Un peu moins carré.
Le jardin est un havre de paix
Où s’ancre le silence.
M’y asseoir me grandit.
J’y arrose ma conscience
D’une transparente simplicité.
J’y cultive la force de l’esprit
Et, sans rougir, y plante mes vers.
Le cœur brosse le cours
D’une vie bien rangée.
Le contrôler n’est pas un devoir.
L’amour s’inscrit inopinément
Dans les cahiers de ton histoire.
A toi d’en tirer les leçons !